Rétrospective
Les Têtes à Claques
Introduction
De René Bruneau (sous forme de café théâtre)
1938, Une maison coquine qui accueille tout le gratin parisien, voilà ce qu’est l’établissement « Passe Câline ».
Mais que va dire la propriétaire des lieux ? Anne la provinciale, fille pieuse et de bonne famille, croit abriter sous son toit parisien, un orphelinat hérité de son oncle.
C’est une comédie, entre vaudeville et farce, avec un goût marqué pour la confrontation entre des personnages truculents, hauts en couleurs, parfois énormes mais toujours au grand coeur, et d’autres joyeusement antipathiques, aigris, revêches, ou un rien pathétiques, malmenés par l’existence. Tout cela évidemment pour rire et faire rire, ce qui n’implique pas que la comédie doive se dispenser de juger un peu de notre monde, qui lui ne prête guère à rire !